Exclusivité Pensée

Alzheimer

Et si c’était vrai. Eh oui, je crains d’avoir raison, on ne trouvera jamais de microbes responsables.

Mais des causes : oui. Très nombreuses, liées un peu à la faiblesse d’esprit des malades, mais surtout à l’environnement du futur malade, causes qui vont me fâcher peut-être avec les premiers enseignants des humains, parmi lesquels sont les parents aussi bien que les profs divers tous responsables à des degrés non mesurables et incommensurables.. Et sans oublier les catéchistes ni tous ceux qui interdisent de monter, de s’installer, comme si ou comme ça, aussi bien dans un bus, un lit ou d’en descendre comme on le fait aussi dans des idées logiques et de s’en servir comme ci.. comme ça.. etceteri etcetera…

Donc, la vaccination étant impossible, on peut essayer simplement d’en supprimer les causes au niveau des liaisons nerveuses, des acquis-réflexes, au niveau des synapses installées avec le temps, ou bien inhérentes à la pensée, donc à la vie.

Ça ne se fera pas en muselant ses parents, ses profs et autres conseillers, mais avec l’aide de véritables études raisonnées. C’est à dire, plus avec l’aide de Claude Bernard qu’avec les élucubrations freudiennes. Quoique.. ? Peut-être avec le bonnes du premier appliqué au second.

Donc il faut avant tout s’entrainer à mettre sans cesse en question les idées reçues ou, du moins, à ne pas les accepter telles quelles.

Il faut aussi prendre en compte les choses et les idées d’autrui (ce qui entraine par exemple des choses qui sont le prolongement des gens qui les ont créées en pensant -plus ou moins bien- à ceux qui vont s’en servir). N’est-ce pas monsieur le Docteur Guillotin ?

Le prof dans sa classe, le créateur d’objets, machines et produits divers dans son bureau d’étude, qui doivent dire à eux-mêmes : « Comment feront mes semblables pour utiliser mes idées, ces objets ?.. Ne serais-je pas en train de leur tendre des pièges, à ces pauvres humains mes semblables qui sont même parfois mes identiques* ? ».

Je crois que, s’ils savent trouver avec qui en parler, dans leur entourage ou en eux même, ils auront reçu un premier vaccin contre cette maladie, rappelons-le sans microbes au moins pour l’instant, mais contre laquelle on propose ce premier vaccin.

Ainsi, on s’intéressera un peu moins au « comment » et davantage au « pourquoi ».

Si on considère que c’est une maladie environnementale, voici un remède « à l’étude » qui ne peut aucunement aggraver la maladie : c’est la gentillesse. À ne pas confondre avec l’infantilisation qui produirait l’effet inverse, puisqu’au lieu de considérer l’autre comme un autre nous-mêmes, on le considérerait comme un inférieur.

À suivre…

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